▷ Les 3 livres qui ont changé ma vie

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Introduction: 3 livres pour apprendre l’anglais

Apprendre l’anglais. On en rêve tous, on s’y met plusieurs fois… puis on abandonne. Par manque de méthode, par découragement, ou simplement parce qu’on a l’impression que c’est “trop dur”, ou “pas pour nous”.

Pendant longtemps, j’ai vu autour de moi ce sentiment d’échec en boucle : on teste des applis, les dernières du moment, le dernier objet brillant, on regarde des séries, on relit ses cours… mais sans réel progrès.
Personnellement, je n’ai pas traversé toutes ces étapes moi-même, car j’ai toujours eu une attirance naturelle pour l’anglais.

Mais à travers ce site internet, où j’accompagne des apprenants dans leur progression pour réussir leur examen d’anglais, je constate encore et encore les mêmes blocages :

une impression de stagner,
une difficulté à s’exprimer et comprendre,
un manque de méthode vraiment adaptée à un apprentissage autonome.

C’est justement pour cela que je souhaite partager ici ces 3 livres pour apprendre l’anglais qui, chacun à leur manière, peuvent transformer votre perception de l’apprentissage de la langue de Shakespears.

Des ouvrages concrets, accessibles, et surtout utiles pour celles et ceux qui veulent reprendre confiance dans leur capacité à progresser.

Ils peuvent vous apporter :

une méthode concrète et progressive,
une motivation réaliste et accessible,
et surtout, une approche plus vivante et plus plaisante dans l’apprentissage.

Je vais vous partage ces 3 lectures clés, ce qu’elles ont changé pour moi, et comment elles peuvent, vous aussi, vous aider.

3 livres, 3 angles… et une vraie transformation. C’est parti !

Cet article participe à l’événement « Les 3 livres qui ont changé ma vie » du site Des Livres pour changer de vie. J’apprécie beaucoup ce site, et en fait mon article préféré est celui-ci 198 citations pour se forger un moral d’acier

1. 1er livre pour apprendre l’anglais : “How to English : 31 days to be an independent learner”

Auteur : Adam David Broughton

Pourquoi ce livre pour apprendre l’anglais m’a marqué :

Ce livre devrait, à mon sens, être présenté dès le collège. Il aurait un impact considérable s’il était intégré dès les premières années d’apprentissage de l’anglais à l’école.

Dès la couverture, le ton est donné : on entre dans une démarche claire, limitée dans le temps, structurée. C’est exactement ce qui manque à la plupart d’entre nous lorsqu’on essaie d’apprendre une langue : un cadre précis, un objectif atteignable, une échéance.

La structure en 31 jours rappelle d’ailleurs la fameuse méthodologie SMART (Spécifique, Mesurable, Atteignable, Réaliste, Temporellement défini). Donc tout est y pensé pour progresser sans s’éparpiller.

Cet ouvrage ne se contente pas de dire « il faut apprendre l’anglais », il montre comment faire concrètement, étape par étape, sur 31 jours. C’est une feuille de route simple, motivante et rassurante, qui donne aux élèves (et aux adultes aussi) les moyens de devenir autonomes.

Il dédramatise complètement l’apprentissage, en montrant que tout le monde peut progresser, à condition d’être régulier et un minimum discipliné. En effet, pas besoin d’être « doué en langues ». En le lisant, j’ai compris que l’indépendance dans l’apprentissage était non seulement possible, mais accessible, quel que soit son point de départ.

Ce livre est, selon moi, une pépite trop peu connue, et il est même inclus dans l’abonnement Kindle, donc disponible pour 0 € si vous êtes abonné (!!) mais malheureusement pas disponible sur Audible au moment où j’écris ces lignes.

Transformation concrète :

Dans mon cas, je l’ai intégré à ma routine dans une démarche de perfectionnement : je l’utilise pour entretenir et développer mon niveau d’anglais, tout en gardant une méthode claire et motivante.

Dans votre cas à vous, si vous avez déjà un niveau faux débutant en anglais, je vous recommande de commencer par le lire en version originale, même si vous ne comprenez pas tout. C’est ce qu’on appelle une immersion active, et c’est un excellent point de départ pour vous imprégner naturellement de la langue, sans pression.

Ce qui est génial avec ce livre est qu’il se lit très facilement : l’anglais est volontaire simple, clair, conçu pour les apprenants. Il vous offre un cadre de 31 jours, idéal pour structurer votre apprentissage et voir vos progrès concrets.

Il combine immersion et discipline : vous commencez à lire et, sans vous en rendre compte, vous rentrez dans une routine d’apprentissage. Résultat : vous faites d’une pierre 2 coups. Vous amorcez une immersion douce dans l’anglais et vous suivez une méthode conçue pour vous rendre autonome, jour après jour.

Et franchement, que demander de plus ?!

Vous pourrez littéralement reprendre le contrôle de votre apprentissage de l’anglais. Dans un monde où on trouve des milliers de méthodes et de conseils sur Internet, je passais mon temps à explorer une méthode parfaite… sans jamais vraiment avancer.

Mais ce livre m’a aidé à transformer mon état d’esprit : au lieu de chercher encore et encore, je vous encourage simplement à passer à l’action. Pas besoin que tout soit parfait dès le début.

L’important, c’est de commencer, d’essayer, d’ajuster au fur et à mesure. Et c’est justement ce que propose ce livre : une méthode simple sur 31 jours, pour avancer pas à pas et ceci sans vous noyer dans l’infobésité.

Ce que j’ai retenu et appliqué :

Apprendre un peu chaque jour, c’est plus efficace que tout faire d’un coup

Avant, je pensais qu’il fallait réviser pendant des heures pour progresser. Ce livre m’a montré qu’en apprenant juste 15 à 30 minutes par jour, on avance beaucoup plus facilement sans se décourager.

C’est possible d’apprendre seul, sans professeur

Je n’avais jamais vraiment osé apprendre par moi-même, sans cadre, sans formation, ni structure scolaire. Mais ce livre m’a fait comprendre qu’on peut tout à fait progresser en autonomie, à condition d’avoir les bons outils et un minimum d’organisation.

Parfois, c’est même plus efficace qu’à l’école… (vous verrez pourquoi avec le deuxième livre). Et vous pouvez très bien en faire autant !

Pas besoin d’attendre d’être “prêt” pour se lancer

Avant, moi aussi j’attendais toujours le bon moment, le bon programme, ou le bon niveau pour commencer sérieusement. Mais ce livre m’a aidé à comprendre une chose essentielle : le moment parfait n’existe pas.

Aujourd’hui, je me lance avec ce que j’ai, même si ce n’est pas parfait. Et je vous encourage à faire de même. C’est en avançant qu’on progresse, pas en attendant.

Un cadre simple donne de meilleurs résultats qu’une méthode compliquée

Les 31 jours proposés servent de guide clair. On sait enfin quoi faire, et dans quel ordre, sans me poser 1000 questions.

2eme livre pour apprendre l’anglais : “Parler anglais en 6 mois, pas en 10 ans”

L’auteure : Lauriane Legrand

Pourquoi ce livre pour apprendre l’anglais m’a marqué :

Parce que ce livre parle vrai. Pas de promesse miracle, pas de méthode magique. Juste une réalité que peu de gens osent dire clairement : parler anglais, ça se construit petit à petit, jour après jour, avec régularité, courage… et beaucoup de patience.

Pour rebondir sur ce que j’évoquais plus tôt, ce livre met aussi en lumière un point important : le système scolaire ne nous a pas vraiment aidés à apprendre l’anglais. Et l’auteure en parle très bien dès l’introduction.

Elle raconte comment, au collège, elle se sentait carrément “nulle en anglais”, comme beaucoup d’entre nous.

Mais au lieu de baisser les bras, elle a décidé de se prendre en main. Grâce à une auto-discipline impressionnante et une vraie méthode, elle a réussi à renverser la situation toute seule. Et c’est justement ce chemin-là qu’elle partage dans ce livre.

Ce que j’ai beaucoup aimé aussi, c’est qu’elle est francophone, comme nous. Elle connaît nos blocages : la peur de parler, le jugement, l’accent… Et surtout, elle sait comment nous aider à les dépasser sans nous faire culpabiliser.

Quand j’ai lu ce livre, j’avais déjà commencé à apprendre l’anglais depuis plusieurs années. Je n’étais donc pas débutante, mais je l’ai ouvert par curiosité… et j’ai été agréablement surprise.

Ce que j’y ai trouvé ? Du bon sens, de la clarté et surtout… une simplicité étonnante.

Transformation concrète :

Cela a transformé ma façon de voir les choses. Parce que j’ai trouvé fou qu’une méthode aussi simple et logique n’ait jamais été proposée à l’école. Ce livre montre que devenir polyglotte depuis son canapé est possible et ceci sans avoir besoin de déménager à l’étranger ou de suivre des cours intensifs hors de prix.

Et le plus beau, c’est que cette lecture m’a donné envie d’aller plus loin. Grâce à cette méthode, j’ai maintenant une trame claire pour apprendre une nouvelle langue : l’allemand.

Je me sens guidée, motivée, et surtout confiante dans ma progression. Ça m’a redonné l’envie d’apprendre les langues, une activité que j’adore mais que j’avais parfois du mal à structurer.

Par ailleurs, ce livre m’a transformé aussi dans le sens où il m’a donné envie d’être plus curieuse, d’oser découvrir de nouveaux livres. Avant, je me bloquais en me disant : « Ce livre n’est pas pour moi, je ne vais rien apprendre. »

Mais maintenant, je sais que chaque lecture peut m’apporter quelque chose.

Ce que j’ai retenu et appliqué :

Ce que j’ai retenu en lisant ce livre, c’est qu’à un moment donné, il faut vraiment se pousser à parler, même si ce n’est pas parfait. L’auteure le dit très bien : il faut “débloquer sa mâchoire” et accepter de parler en mode “Tarzan” au début : c’est-à-dire avec des phrases simples, parfois bancales, mais qu’on ose dire à voix haute. Et c’est exactement ça qui fait toute la différence.

Mais j’ai voulu aller encore plus loin. On vit aujourd’hui à une époque incroyable, où l’intelligence artificielle peut nous accompagner au quotidien. J’ai donc commencé à parler à voix haute tous les jours, à faire des simulations de conversations en allemand… en utilisant notamment la fonction vocale de ChatGPT (!!)

C’est un moyen simple, accessible et sans jugement pour m’exercer à parler, même quand je suis seule. Et au bout de 2 mois seulement, j’ai commencé à voir les effets très concrets : je me suis surprise à comprendre des phrases sans les traduire dans ma tête, à formuler des idées plus naturellement, et surtout… à prendre confiance.

3eme livre pour apprendre l’anglais : “Harry Potter à l’école des sorciers”

L’auteure : J.K. Rowling.

Pourquoi ce livre pour apprendre l’anglais m’a marqué :

J’ai choisi Harry Potter à l’école des sorciers parce que c’est le premier tome de la saga, mais en réalité, c’est toute la série Harry Potter qui mérite d’être recommandée pour apprendre l’anglais. Ces livres sont excellents pour les apprenants, car ils ont été écrits à l’origine pour un jeune public, avec un niveau de langue qui évolue au fil des tomes.

Donc les premiers livres sont très accessibles, même si on n’a pas un vocabulaire très développé, et les suivants deviennent plus complexes, à mesure que l’histoire et les personnages gagnent en maturité.

Autrement dit, on grandit avec les personnages… et avec la langue. C’est une façon motivante et fluide de renforcer son anglais sans s’en rendre compte, tout en se plongeant dans un univers qu’on connaît déjà pour beaucoup d’entre nous.

Transformation concrète :

Avant de commencer, je n’avais jamais lu Harry Potter en français, donc j’ai directement plongé dans la version originale, en anglais. En lisant les 3 premiers tomes, j’ai vraiment senti cette montée en difficulté. Et c’est exactement ce qu’il me fallait pour sortir de ma zone de confort.

Car pour progresser en anglais, surtout à l’écrit, il ne faut pas rester bloqué à son niveau actuel. Il faut oser lire des textes un peu plus difficiles que ce qu’on comprend parfaitement. C’est comme ça que j’avais enrichi mon vocabulaire et franchi un cap décisif à mes débuts.

Résultat : je prenais plaisir à lire, tout en travaillant mon vocabulaire. Et surtout, je voyais ma compréhension de l’anglais s’améliorer de semaine en semaine, sans effort forcé.

Ce que j’ai retenu et appliqué :

Aujourd’hui, on vit dans ce qu’on appelle l’ère de l’infobésité (ou surcharge informationnelle), un terme qui désigne la surcharge d’informations disponibles partout, tout le temps, au point de nous paralyser au lieu de nous aider.

Le mot vient de la contraction de « information » et « obésité » et a été popularisé dans les années 2000 pour désigner cette surconsommation de contenus, souvent au détriment de l’action réelle.

Dans ce contexte, la vraie clé, c’est justement de revenir aux fondamentaux.

Apprendre l’anglais ne dépend pas d’un gadget ou d’une appli miracle. Le cerveau humain fonctionne pareil chez tout le monde, que l’on soit jeune ou plus âgé : on retient ce qu’on pratique, ce qu’on répète, et surtout… ce qui nous fait plaisir.

Et c’est là que lire un livre comme Harry Potter devient une expérience puissante. On ne lit pas « pour apprendre », on lit parce qu’on aime l’histoire, les personnages, l’univers magique. Et sans s’en rendre compte, on progresse en anglais.

Résultat : on apprend naturellement, sans pression, et on a envie de continuer. Et c’est ça, le secret pour apprendre l’anglais de façon universelle, durable et inconditionnelle : une méthode simple + une bonne dose de plaisir.

Conclusion de ces 3 livres pour apprendre l’anglais

2 livres piliers pour démarrer sur de bonnes bases :

Les premiers livres sont, à mon avis, complémentaires et forment une base idéale pour toute personne qui veut enfin se remettre (sérieusement) à l’anglais en mode autodidacte.

Le premier, “How to English?”, est parfait pour les faux débutants. Il propose un cadre clair, progressif et motivant sur 31 jours. Je le recommande vivement à celles et ceux qui ne savent pas par où commencer, ou qui manquent de structure dans leurs révisions.

Le deuxième, “Parler anglais en 6 mois, pas en 10 ans” est plus qu’un témoignage : c’est un appel à l’action. Il pose un cadre mental fort, des conseils concrets et des exercices simples à mettre en place dès aujourd’hui. Il vous donne le coup de boost nécessaire pour sortir de la théorie et passer à la pratique, même imparfaite.

En combinant ces 2 livres, vous aurez à la fois :

une méthode claire,
une motivation solide,
et des actions simples à répéter chaque jour.

Et c’est souvent ce mélange qui manque à ceux qui veulent apprendre l’anglais seuls. Avant même de penser à regarder des séries ou à voyager, ces 2 lectures peuvent donner l’impulsion dont vous avez besoin pour construire votre routine d’apprentissage et retrouver confiance.

D’ailleurs, j’ai tellement apprécié le livre de Lauriane Legrand que j’ai eu l’honneur de lui consacrer une chronique complète sur le site internet d’Olivier Roland, vous êtes libre de découvrir mon article en suivant ce lien : “ Parlez anglais en 6 mois, pas en 10 ans ! ”

En complément : 1 livre pour apprendre l’anglais avec plaisir :

Une fois qu’on a posé les bases avec une méthode structurée (How to English?) et qu’on a trouvé la motivation pour oser se lancer à l’oral (“Parler anglais en 6 mois, pas en 10 ans), il ne reste plus qu’une chose à faire : continuer sans abandonner.

Et pour ça, rien de tel que d’associer l’apprentissage à quelque chose qu’on aime vraiment.

C’est là qu’intervient le troisième livre : “Harry Potter à l’école des sorciers”. Un roman que beaucoup connaissent déjà en français, mais qui, en version originale, peut devenir un puissant outil d’immersion.

Car oui, lire en anglais pour le plaisir, c’est non seulement possible, mais incroyablement efficace à condition de bien choisir son point de départ. Avec une méthode claire, un bon état d’esprit et une touche de plaisir, ces 3 livres m’ont montré qu’apprendre l’anglais (en même tout autre langue) en autodidacte est non seulement possible… mais enthousiasmant.

➡️ Et vous, que pensez-vous quel est votre livre pour apprendre l’anglais ? N’hésitez pas à me faire part de vos avis et à commenter 😊 Aussi si tu veux en savoir plus sur moi :consulte mon article sur ma préparation intensive TOEIC 😉

Asma

Aide test anglais,

Je vous aide à optimiser votre apprentissage de l’anglais en travaillant intelligemment et non durement 😉